Recherche par lecteur : Bertrand Baumann
554 résultats. Page 21 sur 28.
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19228
Résumé:" Si tu avais vécu cette époque, tu comprendrais ce que tu nous dois. Tu ne sais pas ce qu'était la vie avant nous. Pour danser le tango, il fallait un courage ! Sais-tu que la proportion des femmes perdues était incroyablement faible, je ne sais pas, deux pour cent, peut-être ? Sais-tu qu'on s'extasiait devant la peinture naturaliste ? Et devant le théâtre bourgeois ! Le théâtre bourgeois, tu te rends compte, quelle horreur ! "
Durée : 41min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19231
Résumé:"L'Epidémie" est certainement le texte le plus macabre en même temps que le plus drôle d'A. Kristof. Une vague de suicides secoue la tranquillité d'un village placé en quarantaine et dans lequel échoue un automobiliste ignorant du danger. Soucieux de sauver une jeune fille qu'il a détachée de la corde au bout de laquelle elle avait l'intention de se pendre, il se heurte à son inflexible volonté de mourir. Tandis que le médecin, alcoolique, noie son inutilité dans le gros rouge, les pompiers, seuls capables de résister à la déferlante suicidaire, se plongent dans de stériles paperasseries et rapports. Très vite, les certitudes vacillent, les résurrections incompréhensibles bouleversant la donne et culminant dans un jeu de massacre qui n'est pas sans rappeler le théâtre ou certains romans de Copi.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 8h. 52min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 19259
Résumé:1568. Un ancien compagnon de Cortés, Bernal Díaz del Castillo, écrit, à la fin de sa vie, L'Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne, considérée encore aujourd'hui non seulement comme un document de première main, mais comme un authentique chef-d'œuvre littéraire, qui met en scène, sur fond de volcans mexicains, des conquistadores, des franciscains, des courtisans, des guerriers indigènes... Voilà la version officielle. Mais elle ne résiste pas à l'examen approfondi auquel se livre Christian Duverger. Alors surgit une énigme : qui est cet homme qui se cache dans l'ombre ? Quel est son dessein ?
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19222
Résumé:Ceux qui veulent nier le passage du temps disent : quarante ans, ce n'est rien, à cinquante ans on est dans la fleur de l'âge, la soixantaine est la nouvelle quarantaine et ainsi de suite. Je sais pour ma part qu'il y a un temps objectif, mais aussi un temps subjectif... le vrai, qui se mesure dans notre relation à la mémoire. Alors, quand cette chose étrange est arrivée, quand ces nouveaux souvenirs me sont soudain revenus, ç'a été comme si, pendant ce moment-là, le temps avait été inversé... Comme si le fleuve avait coulé vers l'amont. Tony, la soixantaine, a pris sa retraite. Il a connu une existence assez terne, un mariage qui l'a été aussi. Autrefois il a beaucoup fréquenté Veronica, mais ils se sont éloignés l'un de l'autre. Apprenant un peu plus tard qu'elle sortait avec Adrian, le plus brillant de ses anciens condisciples de lycée et de fac, la colère et la déception lui ont fait écrire une lettre épouvantable aux deux amoureux...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19151
Résumé:Au départ du face à face entre un laboureur et la mort, et la dispute qui s'ensuit, il y a le corps d'une jeune femme, l'épouse du laboureur, rendu à la terre. Elle était jeune, douce, mère de famille. Est-il normal que ce qu'il y a de plus beau au monde, de plus enjoué, de plus innocent, soit tranché dans son évolution par la mort ? revendique le laboureur. Est-il concevable de réclamer justice et réparation pour une perte inscrite depuis l'origine des temps dans tout ce qui respire ? rétorque la mort. Ainsi avance la dispute. Chacune des phrases nous est connue. Nous les portons en nous, sachant qu'un jour nous aurons à les prononcer ; de nous-mêmes à nous-mêmes, car autrement comment parvenir à donner sens à l'irréparable ? Lumineux et dense, ce texte, s'il aborde un sujet grave, le fait avec franchise et son énergie n'est pas celle du désespoir, au contraire. La douleur permet au laboureur, non pas de se répandre en lamentations, mais de poser les vraies questions. Ce dialogue de la fin du Moyen Âge déconcerte par la rigueur de sa composition et l'amplitude de l'écho qu'il trouve en chacun de nous. Avec l'évidence des oeuvres parfaites, cette joute oratoire touche à l'essentiel.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19051
Résumé:Le roman met en scène le tête-à-tête, qui tourne au corps à corps, entre un psy et sa patiente, Ming, 25 ans, née à Shanghai et sœur d'Adam dans L'Amour nègre. Enfant, elle a été adoptée par un couple d'acteurs américains. Elle a connu la vie facile aux États-Unis, mais aussi l'exil en Suisse. Elle vient le consulter pour aller mieux, avouer ce qu'elle a sur la conscience. Mais raconte-t-elle la vérité ? Toute la vérité ? L'effort du psy sera d'accoucher sa patiente pour mettre des mots sur ses maux. En se demandant si celle-ci ne le mène pas en bateau. Ming incarne, à sa manière, le combat d'une femme qui cherche à se libérer des liens qui l'emprisonnent : son origine, son éducation, la tyrannie de l'image, la violence masculine, l'obsession du corps parfait, etc. Elle doit trouver sa voie dans le spectacle - la société qui fait d'elle une image. Dans la seconde moitié du livre, Ming vit en Italie. Elle évolue dans le milieu de la mode, puis de la télévision, puis de la politique (les trois étroitement liés). Elle devient l'égérie d'un couturier (Jim Terby), puis d'un chef de gouvernement (Papi). C'est l'occasion de faire le portrait d'un monde en déliquescence, fondé précisément sur l'image et la politique-spectacle. Un monde à bout de souffle.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19041
Résumé:Dans le Fleuve de feu, François Mauriac a voulu relever le défi de Bossuet, qu'il cite en épigraphe : " Qui oserait parler de cette profonde et honteuse plaie de la nature, de cette concupiscence qui lie l'âme au corps par des liens si tendres et si violents ? " François Mauriac a osé. Il n'a pas craint non plus d'ouvrir son livre sur cet avertissement direct : " Si tu doutes qu'une jeune fille bien née et parfois dévote puisse descendre jusqu'où tu vois Gisèle de Plailly, songe à ton âme éprise de Dieu, mais qui, toujours, aima plus ardemment ses souillures. " Gisèle de Plailly a eu une aventure. De cette étreinte est né un enfant qu'a fait passer pour sien une amie, Mme de Villeron. Plus tard, dans une auberge des Pyrénées, Gisèle se lie avec un inconnu beau et hardi, Daniel Trasis. Mme de Villeron veut entraîner Gisèle loin de cette tentation, mais, la veille de leur départ, Gisèle rejoint Daniel dans sa chambre et se donne à lui. Derrière la porte, Mme de Villeron guette et attend : quand Gisèle sort, elle la recouvre de son manteau et l'entraîne. Gisèle regagne le toit paternel et Daniel rentre à Paris. Mais Daniel veut revoir Gisèle et il la surprend à l'église du village, lorsqu'elle vient de communier. Ici, c'est la grâce qui triomphera : Daniel s'en ira sans avoir parlé à Gisèle. Celle-ci est-elle sauvée ?
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 43min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 19163
Résumé:Philosophe et professeur de mathématique, Henri Roorda (1870-1925) a marqué les premières décennies du XXe siècle de son esprit facétieux, à l'égal d'un Alphonse Allais, qui lui fit faire ses débuts de chroniqueur en 1894. Après des ouvrages de pédagogie et des articles anarchistes, il publie régulièrement dans la presse suisse. En 1919, À prendre ou à laisser réunit le meilleur de ses paradoxes, jeux de mots au pied de la lettre, historiettes tendres et moqueuses. Prenant le contrepied de la morale petite-bourgeoise, le « professeur d'optimisme » s'en prend aux usages sociaux les plus banals et décoche ses flèches fraîches et légères. Témoin libertaire et effaré de la Grande Guerre, Roorda ne cherche pas seulement à amuser la galerie. Il fait de l'esprit son combat, de l'humour son arme, histoire de remettre un peu d'humanité chez l'homme.
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18981
Résumé:Argument : Marc est invité par son ami Serge à venir voir sa nouvelle acquisition, une toile d'environ un mètre soixante dix sur un mètre vingt peinte en blanc, avec de fins liserés blancs transversaux, que Serge vient d'acheter 200 000 francs. Atterré par cet achat, ne comprenant pas que son ami ait pu dépenser une somme pareille pour un tableau blanc, Marc donne d'abord son point de vue sans retenue, ne se souciant pas de l'avis de Serge. Puis il va trouver Yvan, leur ami commun, pour lui faire part de son incompréhension à propos de ce geste. Yvan, lui, ne pense rien de ce tableau. L'approche de son mariage le rend nerveux. Il ne veut surtout pas contrarier ses deux amis. Serge et Marc commencent à se disputer et entraînent Yvan dans leur confrontation. Les trois amis vont alors s'entre-déchirer autour de ce tableau blanc en invoquant tous les arguments qui tournent autour de l'art moderne et de l'art contemporain. L'affrontement ira bien au-delà de la seule question de l'art... Celui-ci ne laissera personne indemne. Serge ira jusqu'à dire ce qu'il pense vraiment de la femme de Marc, et Marc jusqu'à dire à Yvan d'annuler son mariage considérant qu'il fait une erreur. À force, Marc et Serge iront jusqu'à se battre. Finalement, pour sauver leur amitié, les trois amis vont sacrifier le tableau en dessinant dessus, puis vont le restaurer ensemble. (wikipedia.org)
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 18960
Résumé:
Durée : 53min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18935
Résumé:Dans la salle de dépôts des « petites et grandes inventions », une charmante jeune femme, Agnès, tente d'obtenir un rendez-vous avec le Président de l'institution pour obtenir une place. Un peu gauche, elle ne réussit pas à passer la barrière de l'huissier. Un monsieur de Bellac alors lui donne un conseil : pour obtenir ce qu'elle souhaite auprès des hommes, elle doit simplement leur dire « qu'ils sont beaux », et de les comparer à un « Apollon de Bellac », statue grecque évidemment fictive. Dubitative, mais confiante en cet inconnu, elle s'essaie dès lors systématiquement au stratagème auprès des différents fonctionnaires de l'administration et finit ainsi par atteindre le Président du bureau. Celui-ci, charmé par l'« aveu » fait par Agnès sur sa beauté renonce à son mariage et se déclare à Agnès. Dans une ultime déclaration, faite les yeux fermés au monsieur de Bellac, Agnès s'enflamme pour cet Apollon imaginaire qui lui a tant servi. (wikipédia)
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18913
Résumé:Cette pièce en 1 acte a été créée au Théâtre de l'Alliance française en décembre 1962. Dès le lever du rideau, le Roi apprend qu'il va mourir. Avant qu'il n'accepte son sort, le spectateur rit, tremble, et pleure. Ionesco cherche à montrer l'homme ramené à sa condition fondamentale, c'est-à-dire l'homme face à l'angoisse de la mort. 'Le roi se meurt' n'est pourtant pas une pièce triste. D'abord, parce que l'humour n'y est pas absent. Ensuite, et surtout, parce que Ionesco propose les remèdes pour sortir de la crise. Cette grande oeuvre classique est une leçon de dignité devant le destin.
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18901
Résumé:Simon Weinberg est mort. Un matin de novembre, il est, selon ses propres voeux, enseveli dans la propriété familiale du Loiret. Il fait beau. Ils sont six. Frères et soeurs, amants ou mari et femme. Le deuil leur donne le privilège de vivre, isolés, quelques heures sous le soleil qui s'attarde, à l'ombre du disparu, sous les arbres, dans la maison aux murs familiers, cet instant indescriptible où l'on retient son souffle, ce moment intense entre l'absence et le retour aux choses, entre le manque et la vie.
Durée : 1h. 42min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18911
Résumé:Voici réunie en un seul volume l'œuvre de dramaturge de Yasmina Reza. Conversations après un enterrement, La Traversée de l'hiver, Art, L'homme du hasard, ont en quelques années imposé sur la scène française un auteur dont les huis clos, train, hôtel ou living, sont autant de prétextes à des comédies subtiles et décapantes, d'un ton profondément moderne.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 19h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18807
Résumé:" L'homme le plus intelligent de France " jugeait Stendhal. Et la révolution de Juillet en 1830, la chute de l'absolutisme se faisaient au mordant des pamphlétaires. Succès posthume pour l'ex-officier des armées de la Révolution et de l'Empire, l'helléniste reconnu, le vigneron si peu de la Chavonnière, qui se prolongea tout au cours des années d'affrontement entre tenants et adversaires de l'Ordre moral. Succès tel qu'à la longue, il lassa ceux qui avaient réussi, et la France, républicaine, laïque et propriétaire, s'éloigna de Courier qui avait contribué, sans tout à fait y croire lui-même, à la faire telle. Savants, les hellénistes gardaient pourtant la mémoire de ce qui fait Courier, l'un des meilleurs d'entre eux, l' "inventeur " d'un fragment disparu et recherché des " Pastorales, Daphnis et Chloé " de Longus, et le maculateur immédiat, par pâté d'encre étourdi dudit passage : d'où le charivari des érudits ! Et bien au-delà du cercle des lettrés, ou de celui, chaleureux, de la Société des amis de Paul-Louis Courier, rayonnant depuis Véretz, Touraine, des fidèles de tous horizons restent acquis à Courier : ceux qui aiment vagabonder en croupe du canonnier à cheval, chef d'escadron en Calabre, et qu'émeuvent son " nonchalant " courage, son respect de l'ennemi et son émerveillement des couleurs italiennes ; ceux aussi que trouble le désarroi de Paul-Louis, hobereau malgré lui, époux tardif devant Harminie, sa femme, si jeune, si belle, accablée de tâches et qui s'ennuie. Assassiné le 10 avril 1825, dans ses bois de Larçay, mort bête et paysanne sans doute là où certains voient encore du mystère, Courier a vécu plusieurs vies, militaire, helléniste, propriétaire, pamphlétaire, mais vies moins successives, qu'emmêlées tant Courier change de personnage par refus instinctif d'être classé, catalogué, emprisonné. (Alain Dejammet)
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 28h. 1min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18986
Résumé:Un jeune homme à l'allure bohème se fait remarquer à Paris, en 1912, parmi les 'montparnos', peintres, poètes, écrivains. Il apporte un souffle nouveau qui surprend, dérange. Ses premiers poèmes, 'Pâques à New York' et 'Prose du Transsibérien' font scandale, ils mettent un point final au symbolisme. Il a vingt-cinq ans, il s'appelle Blaise Cendrars, un nom qu'il s'est inventé, évoquant le feu qui le brûle. Il a derrière lui une enfance douloureuse en Suisse, en Italie, en Allemagne ; une adolescence ardente mêlée à la révolution de 1905 dans une Russie d'apocalypse ; un apprentissage d'homme et d'écrivain dans un milieu d'esthètes en Belgique, puis dans un Paris de misère qui l'ignore, et enfin dans le Nouveau Monde. Libre de toute attache, il sillonne les routes, les océans, passe d'un continent à l'autre, du dedans au dehors. L'aventure est sa matière première. Engagé volontaire dans l'armée française, son bras droit est emporté par un obus en 1915. C'est un bouleversement profond : tout est changé, sa main d'écrivain et sa vision du monde. 'L' Or' (1924), 'Moravagine' (1926), 'Le Plan de l'aiguille' et 'Les Confessions de Dan Yack' (1929) transforment le concept du roman. De 1944 à 1949, 'L' Homme foudroyé', 'La Main coupée', 'Bourlinguer', apportent une forme nouvelle au récit autobiographique. En 1984, sa fille Miriam, s'appuyant sur ses souvenirs, ceux transmis par sa mère, et sur un fonds de documents et d'archives, publiait un essai biographique sur Blaise Cendrars. Nouant un dialogue étroit entre la vie et l'oeuvre de l'écrivain, elle tentait de pénétrer le secret de cet homme hors du commun.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 8h.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 18971
Résumé:Pour Mariah, le cauchemar commence quand elle découvre sa mère atteinte d'Alzheimer enfermée dans un placard, l'arme du crime au poing, à côté du cadavre de son père tué d'une balle dans la tête. Aucun doute pour la police mais Mariah, elle, est convaincue de l'innocence de sa mère. Son père, spécialiste de la Bible, avait fait quelques temps auparavant, une étrange découverte : une lettre de Jésus à Joseph d'Arimathie, disparue au 15e siècle de la bibliothèque du Vatican, après que le pape ait émis des doutes sur son authenticité. Mais elle a mystérieusement resurgi et, avec elle, la preuve de son authenticité. Aurait-on tué son père pour récupérer ce parchemin d'une valeur inestimable ? Et, dans ce cas, qui est le coupable ? Mariah se lance dans l'enquête, au péril de sa vie.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 4min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 19045
Résumé:La Vita nuova de Dante, c'est 1292. Le Novellino peut lui être antérieur d'une trentaine d'années. " Dugentesco (mille-deux-centesque), qui est l'épithète d'évaluation consacrée par la critique italienne actuelle, est alors bien ce qu'il convient pour fixer l'âge de composition de ce capital monument de la pré-Renaissance. L'auteur est anonyme. Aucune des conjectures auxquelles on s'est livré n'a réussi à l'identifier. Ce n'est ni Francesco da Barberino, ni Brunetto Latini, ni Andrea Lancia, ni non plus Dante da Maiano. Il n'en demeure pas moins que c'est un écrit d'une robuste et belle fraîcheur, et si ce n'est pas, comme on l'a dit, un auteur qui parle, c'est - et c'en bien préférable - son siècle entier dans toute sa finesse dans sa vieille sagesse et sa force qui s'exprime par lui.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18779
Résumé:René Trouin, sieur du Gué, dit Duguay-Trouin, né le 10 juin 1673 à Saint-Malo et mort le 27 septembre 1736 à Paris est un corsaire français. Né dans une famille d'armateurs bretons, il débute sa carrière en 1689 et reçoit, dès 1691, le commandement d'un navire. Son courage, le respect qu'il a gagné auprès de ses hommes, ainsi que ses victoires contre les Anglais et les Hollandais au cours des deux dernières guerres de Louis XIV lui ont assuré une ascension très rapide dans la hiérarchie maritime. Ses campagnes sont parmi les plus belles de l'histoire navale française.(wikipédia)... Embarqué par son père à 16 ans sur un vaisseau corsaire, à 19 ans il est capitaine. A 21 ans, alors capitaine de frégate, il est fait prisonnier puis emprisonné par les anglais. Il s'évade de Plymouth et traverse la Manche sur un canot. Ses exploits en mer le font remarquer de Louis XIV. Il devient officier de la marine royale en 1697. Il commande alors les plus beaux navires de la flotte royale. Mais les honneurs qu'il reçoit ne calment pas sa fougue et il obtient encore plus de 300 victoires sur des navires des flottes hollandaises et anglaises. Le "Roi Soleil" qui l'apprécie fort l'anoblit en 1706. Il devient alors Duguay-Trouin. Mais son audace ne faiblit toujours pas et il continue de rêver aux plus folles expéditions.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 14h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18805
Résumé:La ville met en scène l'ascension de Flem Snopes, avide de considération plus encore que de richesse, qui, parti d'une gargote sordide, va s'élever lentement dans la hiérarchie de la ville. Mais cette chronique d'un bourg du Mississippi, dévoilée à travers le prisme de trois narrateurs, est aussi une grande et pathétique histoire d'amour dont Eula Snopes, une nonchalante et fatale beauté, est l'héroïne.